dimanche 14 juillet 2013

2 ou 3 petites choses du dressage de Mon esclave...

Un court billet de blog afin de montrer à toutes et à tous que Je suis présent et que ce blog reprend vie...

Ce que J'aime développer chez Mon esclave pour Mon plaisir, Mon bien être et Ma joie de vivre. Sans ordre de priorité ou d'importance.

- ses attributs de femelle. Jamais ou très rarement de soutien gorge à la maison, ses seins lourds et tombants s'agitent librement. C'est une esclave femelle, J'aime le voir, J'aime savoir que sa poitrine le lui dit en permanence. ses mamelles seraient moins grosses ou moins tombantes, Je me ferais un plaisir de les étirer, des les attacher à ses genoux lors des utilisations sexuelles afin que les mouvements de mon bassin sur le sien, en écartant ses jambes lui étirent les seins…. Ce sont des choses que Je ferais quand notre petit en aura fini avec de son coté. Pour l'instant, comme il tête encore une fois par jour, Je ne m'autorise pas à les martyriser.

- sa coquetterie. Je n'ai jamais eu beaucoup d'effort à faire, une esclave femelle est souvent coquette pour plaire au Maitre, c'est une démarche naturelle. Il fut un temps lors du noviciat où elle me demandait chaque jour de lui choisir sa tenue. J'ai assez vite compris qu'elle était meilleure que moi dans ce domaine. Cependant, chaque achat, rouge à lèvres par exemple, chaque application de vernis sur les ongles requiert mon accord.

- après six séances d'épilation laser, sa vulve et son pubis sont parfaitement lisses et glabres pour le reste de sa vie. Sa vulve fermée, jambes serrées par exemple, est très belle. J'apprécie beaucoup cette douceur du bout de mon gland lorsque Je la pénètre. Vulve ouverte, l'entrée de son petit vagin est une pure merveille dans tous les sens du terme, il restera une petite opération pour atteindre la perfection de ce coté là, nous verrons cela plus tard.

- son odeur M'enivre et Me transporte. Je lui ai fait jeter tout ses parfums dès que Je l'ai asservie. Il fut même un temps où j'aimais enduire le revers de ses oreilles avec sa mouille fraiche.

- clochette n'est pas une femme fontaine et c'est pas faute d'avoir essayé et de toujours tenter Ma chance de temps en temps. elle est très correctement lubrifiée et comme Je l'utilise en moyenne une fois par jour sa souplesse est bien entretenue.

- Avec l'arrivée du petit notre emploi du temps de séance a été profondément bouleversé. Néanmoins lorsqu'il est à la crèche je peux la martyriser doucement afin de l'utiliser à son meilleur. C'est lorsqu'elle a bien souffert, qu'elle est totalement abandonnée, le corps ouvert, que J'apprécie le plus de M'en servir sexuellement. Son vagin trempé est d'une douceur incomparable dans ces moments là et lorsque Je lui ordonne de jouir, elle vibre profondément de ses dernières forces entièrement rompue.

- La grossesse a un peu déformé son ventre qui ne retrouve pas son état antérieur, là aussi une petite opération s'imposera prochainement.

_ Je l'ai fait tatouer il y a un peu plus d'un an. Son numéro d'esclave sur le haut de la cuisse gauche coté extérieur bien visible et deux mots en anglais qui marquent ma propriété de l'autre : "Sensei's property". Pour ses trente ans Je l'ai autoriser à se faire tatouer un motif de rêve sur le dos : une très belle créature soumise (yeux baissés, poignets offerts) mi femme mi carpe koï. Ce tatouage est en cours de cicatrisation et la deuxième séance (pour tous les dégradés) est prévue à la fin de l'été. Il y aura d'autres tatouages...

- son dressage n'a pas de fin : pour l'esprit par le corps, pour le corps par l'esprit.








- Enfin, je constate avec bonheur que la maturité aidant, elle s'épanouit de mieux en mieux sous Mes ordres...

- Tout ceci étant très bien situé aux cotés de notre nature primordiale de parents, évidemment...





vendredi 14 juin 2013

Republication d'un papier paru en juin 2010 et disparu depuis...

Bon maintenant que nous savons que la CIA conserve tout de ce qui se publie ici, j'aimerais bien qu'ils puissent me rendre mes post disparus....


C'est Andy Candy qui a attiré Mon attention sur ce film dont J'ignorais la sortie. Qu'elle en soit ici publiquement remerciée.

Je reprends ici le résumé qu'elle propose sur son blog que Je vous invite à parcourir… Nous n'avons pas les même points de vues sur un certains nombre de choses, ce qui rend les discussions vraiment intéressantes;-).

"Littéralement, la traduction de SM rechter est Le juge sado-masochiste. Inspiré d'une histoire vraie, ce film réalisé par Erik Lamens est sorti en mars 2009 sur les écrans belges. Il raconte comment Koen Allegaerts, un juge belge, s'est retrouvé sur le banc des accusés pour avoir été "le bourreau" de son épouse, Magda. Au bout de plusieurs années de mariage leur couple coulait lentement à la dérive et Magda devenait de plus en plus dépressive. C'est ainsi qu'après une thérapie elle a compris et avoué à son mari ses envies masochistes et son désir d'être dominée. Au départ réticent, Koen a finalement accepté de vivre et de faire vivre les fantasmes de sa femme. Peu à peu ils dépassent ainsi leurs limites et se retrouvent plus amoureux et passionnés que jamais. Mais un jour, lors d'une perquisition, la police tombe sur des vidéos SM les mettant en scène. A partir de là, la machine judiciaire se met en route et l'intimité du couple est jugée sur la place publique faisant passer Koen pour un tortionnaire et Magda pour une victime…"

Je n'ai pas à vous raconter quoi que ce soit du scénario au delà de ce résumé. Je Me suis abstenu de lire les interviews de Erik Lamens ou toute autre critiques avant de le voir et Je ne peux que V/vous inviter à faire de même…

Ma première reflexion en cours de film fut cette idée que quelques fois J'ai eu à l'égard d'histoire vraies transposées au cinéma ou en littérature…
Oui, parmi les livres qui Me marquent, beaucoup sont des témoignages vécus. En vrac et de tête, je peux vous citer "Pimp" de Iceberg Slim (proxénète noir dans l'amérique des années 40), "Putain" de Nelly Arcan (mais j'en ai déjà parlé ici suite à son décès prématuré)… Parmi les films 'Into the wild' le chef d'oeuvre de Sean Penn…. Bon enfin bref, ailleurs et plus tard J'en parlerais….

Bref, cette idée étrange & mystérieuse (qui Me ressemble bien ;-) que ces histoires vécues le furent pour être racontées plus tard, par les personnes même qui en furent les acteurs ou par un artiste tel qu'un auteur (littérature/théatre en pensant à BM Koltès par exemple) ou un cinéaste… Oui J'aime bien cette idée que ce qu'un homme vit permet à tous les hommes de le vivre… Ceci représente une grande part de Mon énorme et permanente curiosité naturelle et de Ma sensibilité...

Alors oui, ce que raconte le film est une réelle plongée dans nos désirs de vivre en accord avec nous même, en paix avec nous même et ce en dépit des conventions et des jugements à l'égard de ce que nous nous sentons être… Dans notre intimité entre adultes consentants puisque nous parlons de sexualité Sado Masochiste…

Le film est particullièrement bien réalisé, bien construit et superbement interprétée… Il est bon de noter que la performance de Veerle Dobbelaere, la comédienne principale, est remarquable, elle a joué sans doublure (à part qqs plans mais Je ne peux vous dire lesquels), dans le but d'une sincérité qui crève l'écran. Le scénario, rédigé en relation avec les véritables protagonistes, en plusieurs versions bien sur, est malin et parfaitement équilibré. Cela semble simple, mais c'est bien cela le cinéma : la simplicité et le pouvoir d'évocation sensible… Malin parce que Erik Lamens a su trouver la bonne distance face à son sujet (comme aux véritables personnages) permettant à chacun de questionner sa propre idée des enjeux de la situation (le SM face à la justice) et du sujet (la liberté sexuelle individuelle) en général.

Oui, il est évident comme le constate Lamens, qu'aujourd'hui, le fait ne serait plus jugé de la même manière. A l'époque, la justice belge est traumatisée par l'affaire Dutroux (et il y a de quoi), c'est pour partie une des raisons du verdict… Pour partie, sans déflorer le film il est clair que ce qui se joue là est bien le respect de la liberté de chacune des personnes qui s'adonnent au SM ou aux relations D/s dans leur intimité… 

Oui, il est clair que si la justice devait condamner la pratique SM, il faudrait aussi condamner les boxeurs, les plasticiens, les alpinistes, les pilotes de rallye automobiles etc…  Mettre en danger la vie d'autrui ou mutiler son propre corps est la liberté fondamentale des adultes consentants (le co pilote de rallye, les spectateurs, le boxeur adversaire, le théatre extrème de Ron Athey par exemple, dont J'ai organisé la venue en France avec des amis il y a longtemps ;-)… Oui, mutiler son propre corps, Je pense aux circoncisions consenties, Je pense à Orlane, oui véritable liberté de chacun, bonjours les fumeurs, puisque par nature cette liberté s'étend au suicide… Et oui...

Le film porte de manière plutôt fine l'enjeu de la morale sociale et de la justice, de la norme sociale et de la place de la sexualité dans la société… Ah, ben, y a pas à dire… Y a du boulot…. On y trouve cette terrifiante affirmation : "les parents n'ont pas de sexualité" (au yeux des enfants)… On y trouve aussi la négation de l'autre par le système judiciaire qui, une fois les rôles définis des prévenus, n'écoute rien d'autres que ce qui sert ces à priori et l'on pense à l'Affaire Outreau en France, au délabrement criminel du système pénitentiaire français, au fichage effrayant (STIC) en cours de réalisation aujourd'hui…

Bref, toutes ces choses, lois, manœuvres, propos, décisions, qui nient à l'humain sa condition d'être pensant, volontaire, intelligent, autonome et responsable… N'être qu'un pion, un numéro dans cette société qui se moque, dans le monde du travail par exemple, de l'humain comme de la source des matières premières, en organisant le travail atomisé uniquement par la fonction, interchangeable par nature, l'homme n'est plus un homme, mais une fonction, s'il se suicide, sa fonction lui survivra et lui sera oublié, nié… Dans le monde de l'hopital (grands centres industriels responsables en France de 750 000 cas et 9 000 morts de maladies nosocomiales) l'humain n'est pas mieux considéré…. Les exemples sont si nombreux que la réflexion en devient vertigineuse, et les vertiges pourtant cela N/nous connait…  Aaahhh la société de surveillance… Mais qui surveille les surveillants ? Et qui édicte la norme sociale, et qui résiste et au nom de quoi et qui sera broyé ? Ah, que sont nos libertés en train de devenir ? Aahhh Qui sommes nous, des humains ? des numéros ? Sommes nous consentants ?

La négation de l'autre est un des aspects du film le plus évident, négation des adultes, des jeunes, comme du public par une justice aveugle et craintive… Et ce n'est pas le moindre paradoxe, parfaitement souligné et réalisé par Lamens, de montrer que dans le milieu SM et D/s, avec la prudence nécessaire (qui en l'occurence fait défaut ici dans un moment crucial) le respect, l'échange est une valeur fondamentale qui ne supporte aucune approximation. Comme dans le cas d'une foule d'autres activités comme guide en montagne, moniteur de quad ou d'équitation qui saura ne pas vous mettre débutant sur un pur sang par négligence ou par bétise… La prudence est mère de sureté….  L'aviation, le nautisme, la cueillette des champignons ne supportent pas non plus la moindre approximation…..Bla bla bla bla….

C'est bien le respect de soi, de la connaissance de soi, de l'engagement à vivre ce que l'on souhaite vivre au plus profond de nous même qui est au cœur du film et en cela oui, ce film est indispensable à qui s'intéresse aux relations SM, D/s et leur place dans notre société…J'affirme même que ce film concerne quiconque s'intéresse à la place de N/nos libertés dans notre société...

J'aime quand un film de cinéma est plus grand que son sujet… Kubrick, Winterbottom, Kosminski, Ford, Lang etc…  Certes et bien sur, Lamens M'en voudrait de joindre son nom à ceux là et il aurait raison, cependant, le film est bien ficelé, et ceci suffisamment pour toucher le public avec les bonnes questions permettant à chacun de se positionner librement… Les personnages principaux comme les secondaires sont parfaitement à leur place avec un véritable épaisseur, le récit progresse rapidement sans parti pris et la réal objective du film (moyens et choix d'adaptation) est parfaite…

Voilà, J'en profite pour dire que Je mène une reflexion l'évolution de Mon blog…. Il est possible que Je créé un nouveau blog essentiellement constitué de Mes réflexions sur ces sujets et que Je laisse celui çi uniquement consacré aux films que Je trouve ici ou là… Je réfléchis….

Bon film



lundi 29 avril 2013

Personnes sensibles passez votre chemin...

A TOUS LES GROS CONS DU BDSM... tous ceux et celles qui sont capables de croire que l'on peut vivre esclave et Maitre sans la moindre sensibilité je souhaite des heures et des semaines de tristesse la bite demi molle à la main... A tous ceux qui ont laissé des messages minables de médiocrité à mon esclave dans sa période de doute je crache à la figure et je fais caca sur leur nom jusqu'à la tombe...

Et non, désolé, ce n'est pas l'intelligence qui fait la différence (trop facile :-) mais bien la sensibilité...  Même à coup de cravache... Les honnêtes et nobles personnes se reconnaitront...

en attendant les abrutis peuvent toujours se branler sur tumblr... Nous, les êtres sensibles et sincères savons QUI nous sommes et c'est ce qui compte....

http://sublime-degradation.tumblr.com/
http://devotionaltraining.tumblr.com/
http://subtrainer.tumblr.com
http://picmanbdsm.tumblr.com/


entre autres.... et vive la sensibilité et tumblr ;-)