lundi 17 mars 2014

Tatouage des esclaves

Pour quelles raisons ai je souhaité à l'origine que mon esclave soit tatouée ?


1/ un cadeau pour Moi :  affirmer ma pleine et entière propriété sur son corps et son être

2/ un cadeau pour elle : que soit marquée à vie sa nature d'esclave sur sa peau afin qu'elle soit assurée d'être traitée telle qu'elle doit l'être pour être heureuse si je venais à disparaitre

Il y a bien d'autres réponses, le coté esthétique que j'apprécie, le fait qu'elle lit, à chaque fois qu'elle s'observe nue dans un miroir, qu'elle m'appartient, que son numéro est unique dans le grand repertoire des esclaves, qu'en public, à la plage, à la piscine ou en soirée chacun lise sur sa peau sa condition. Tout ceci me plait...

Je se suis pas le seul...

Et avant de commenter ceux que j'ai fait tatouer sur la mienne dans le prochain post, j'ai plaisir à vous faire partager quelques images glanées sur le web depuis un petit moment...

J'ai mis de coté pour ce prochain post deux types de tatouages : ceux qui mentionnent le numéro de l'esclave et ceux qui d'une lettre qui ressemble à un "k" sont issus de la culture de Gor, "k" marqué au fer (ou tatoué aussi par chez nous) sur la cuisse étant la marque traditionnelle des esclaves de cette épopée de science fiction dont la culture bdsm s'est emparé il y a longtemps...

Ce sont, vous le constaterez, des tatouages d'appartenances ou des tatouages de statut.

"slave" signifie esclave en anglais, sklavin également en allemand... Le tout pour le plaisir des Maitres et Maitresses...

Je tiens à remarquer que je juge particulièrement judicieux de tatouer le terme "esclave" ou "slave" à proximité du sexe de l'esclave : aucune ambiguité, c'est ainsi qu'il ou elle doit être utilisé sexuellement et ce quelques soient les circonstances...













Et je me souviens...

je me souviens que dans les années 80 rares étaient les pubis intégralement rasés....

Je me souviens dans les années 80, parmi les premiers signes de soumission de celles qui consentaient au Maitre le rasage intégral et permanent faisait partie des premières habitudes....

Je me souviens des premiers tatouages d'esclave apparus au cours des années 90 sur le grand registre des esclaves

Il me plait de constater aujourd'hui que l'épilation intégrale est devenue une évidence....

Dans 20 ans le tatouage - marquage sera peut être devenu une évidence : il me plaira de le constater si c'est le cas (sourires)... Chacun y aura gagné en respect et en liberté de vivre en toute circonstance telle que l'on se sent être, vrais en nous même, vrais les uns vis à vis des autres.... Je rêve... Qui sait ?

1 commentaire:

Unknown a dit…

Avant de devenir la propriété de mon Maître, jamais je n'aurais pensé espérer un quelconque tatouage et pourtant, je fais maintenant partie de ceux et celles que cela séduit et qui espère porter la marque de Son Propriétaire. :)

Mon Maître souhaite me faire marquer, mais pour l'instant, Il ne sait pas encore où, mais je sais que j'aurais au moins Ses initiales, car je Lui avais demandé cette faveur qu'Il avait accepté. :)

Le tatouage est (selon moi), encore plus fort que le port du collier qui atteste déjà assez bien de ce que l'on assume sans honte, car il faut bien admettre que le porter 24h sur 24 à la vue de tous attire parfois des regards curieux, gênés et parfois que cela dérange, mais au diable les mauvaises pensées qui sont véhiculées !

Concernant le tatouage, pour le maître et l'esclave, (selon moi) c'est une emprunte de confiance, d'amour, de fidélité et tout ce que cela comprend encore. D'une certaine façon, il est le résultat de tout ce qui s'est construit dans la relation Maître/esclave pure, même si la relation continue à évoluer.

En tout cas, c'est effectivement un beau cadeau de la part du maître qui offre cela à sa propriété, tout comme c'est un beau cadeau de la part de l'esclave d'apprécier cela de son maître, car c'est une façon de dire à son maître aussi qu'elle lui est et restera sienne. :)

Lilli, esclave de Maître Phsm