vendredi 21 mars 2014

Voir l'esclave dans la soumise

L'enfant s'émerveille du travail du sculpteur.

Il demande :

- comment savais tu qu'un cheval se cachait dans cet énorme bloc de pierre ?

Le sculpteur sourit :

- je le savais parce que je l'ai vu dès le début…


Le Maitre est ainsi : il voit.

Lorsque la personne soumise fait sa demande au Maitre - c'est la règle - Il voit ce que les autres ne voient pas pas, même pas la soumise….

Selon son désir, selon son besoin, il saura voir l'esclave dans la soumise et répondra à sa demande en toute connaissance de cause… Sans même forcément le dire…

Au fil du temps, lorsque la soumise demandera à devenir esclave novice, Il lui dira avec la bienveillance qui convient qu'il avait vu.

elle s'en trouvera tellement heureuse d'être si nue devant son Maitre...






source de l'image

mardi 18 mars 2014

La sexualité de l'esclave entre les mains du Maitre.


lorsque je l'utilise, désormais toujours en levrette, je lui ordonne de jouir afin de lui offrir ce moment d'extase dont son corps et son esprit a besoin.

Je cesse les mouvements de va et vient de ma queue dans son petit vagin et en lui tenant fermement les hanches, en serrant sa chair de plus en plus fort je l'interpelle clochette ? oui Sensei, clochette mon esclave ? oui SENSEI, elle répond dans un souffle, je poursuis : A 3 je t'ordonne de jouir… puis je compte : un, deux… trois ! En pressant de plus en plus fort la peau sur ses hanches sans un mouvement de ma queue afin que son orgasme surgisse à mon ordre et non d'un mouvement de mon sexe.

Je sens alors son vagin se contracter sur ma queue, son corps s'emporter et je reprend mes mouvements dans sa vulve qui se trempe de l'orgasme qui saisit son corps. Je la pilonne avec violence en la tenant très fermement pour la faire aller et venir sur ma queue. Profondément, quelques fois en la tenant, je repositionne sa fente afin de la pilonner au plus profond, quelques fois une douleur la fait sursauter, je la tiens encore plus fermement et plus durement encore je la heurte profondément à l'intérieur plus fort que sa douleur,elle gémit, esclave pleinement ouverte, souffrante dans le plaisir que je savoure, dans mon plaisir de l'utiliser librement totalement abandonnée, haletante, son corps entièrement soumis à mes mouvements, à mon plaisir qui ne tarde pas à venir…

Je répand mon sperme en elle et d'une tape sur les fesses l'invite à se coucher sur le coté, elle me remercie de sa petite voix épuisée… Selon ma position, je met ma queue à sa place, dans sa bouche et lui caresse alors la tête doucement...

Oui au fil du temps, la maitrise de son plaisir sexuel est devenu un rituel….



La forme varie mais la constance de l'ordre comme la venue de l'orgasme en dehors de la stimulation génitale est désormais rituelle… je constate avec plaisir que lorsque je lui tiens les hanches en serrant un peu au cours de la journée, son corps s'excite et son besoin d'orgasme s'étend malgré elle, j'aime en jouer comme elle apprécie de sentir son corps m'appartenir ainsi malgré lui...

Il m'importe que le plaisir de mon esclave soit entièrement soumis à ma volonté.

Cela fait partie de l'entretien de l'esclave selon moi. Il y eut des périodes de chasteté orgasmiques, rarement plus d'une semaine… Il est bon de savoir que je l'utilise quotidiennement.

Dresser une esclave à jouir sur commande c'est un peu comme les piercings, il faut du temps et de la persévérance, il s'agit de tenir chaque jour l'orgasme de l'esclave, au début lui ordonner de demander la permission de jouir afin que son corps identifie parfaitement les signes avant coureurs de l'orgasme. Puis la dresser en lui refusant l'orgasme lorsqu'elle demande à jouir et lui ordonner dans les minutes qui suivent son refus de jouissance. Ne pas s'impatienter, ne pas punir lorsqu'elle jouit sans le vouloir et poursuivre sans relâche le dressage. 

Il est courant que cela dure plusieurs mois. L'usage de vibromasseur est tout a fait possible dans la préparation du corps a reconnaitre la venue de l'orgasme. Evidemment il faut l'éteindre juste avant qu'il survienne. Attention, je me souviens des premiers mois de dressage, mon esclave se cabrait et criait beaucoup dans ces moments là… Je la laissai ainsi et tenais fermement son humeur dans les heures qui suivaient…

Ce n'est pas facile mais c'est ainsi que l'on progresse ensemble aussi…. 

Empêcher son esclave de jouir c'est aussi savoir la tenir malgré sa frustration durant les heures qui suivent, et ce sans forcement la punir.

 

Dans le calme il est important de lui permettre de remarquer comme son plaisir d'obeir à son Maitre est plus important que la frustration ressenti par son corps… Sachant que ces états de frustrations sont passagers…


Je prévois dans les semaines à venir de changer l'ordre du rituel : je prévois de ne la faire jouir que sous les coups… après l'avoir utilisée attachée, la vulve remplie de mon sperme, la battre selon mon plaisir et lui ordonner de jouir… et non de commencer par les coups qu'elle apprécie tant….

Martinets, cravaches, cannes et autre paddle seront les prochains amis de ses orgasmes…

A suivre


lundi 17 mars 2014

Tatouage des esclaves

Pour quelles raisons ai je souhaité à l'origine que mon esclave soit tatouée ?


1/ un cadeau pour Moi :  affirmer ma pleine et entière propriété sur son corps et son être

2/ un cadeau pour elle : que soit marquée à vie sa nature d'esclave sur sa peau afin qu'elle soit assurée d'être traitée telle qu'elle doit l'être pour être heureuse si je venais à disparaitre

Il y a bien d'autres réponses, le coté esthétique que j'apprécie, le fait qu'elle lit, à chaque fois qu'elle s'observe nue dans un miroir, qu'elle m'appartient, que son numéro est unique dans le grand repertoire des esclaves, qu'en public, à la plage, à la piscine ou en soirée chacun lise sur sa peau sa condition. Tout ceci me plait...

Je se suis pas le seul...

Et avant de commenter ceux que j'ai fait tatouer sur la mienne dans le prochain post, j'ai plaisir à vous faire partager quelques images glanées sur le web depuis un petit moment...

J'ai mis de coté pour ce prochain post deux types de tatouages : ceux qui mentionnent le numéro de l'esclave et ceux qui d'une lettre qui ressemble à un "k" sont issus de la culture de Gor, "k" marqué au fer (ou tatoué aussi par chez nous) sur la cuisse étant la marque traditionnelle des esclaves de cette épopée de science fiction dont la culture bdsm s'est emparé il y a longtemps...

Ce sont, vous le constaterez, des tatouages d'appartenances ou des tatouages de statut.

"slave" signifie esclave en anglais, sklavin également en allemand... Le tout pour le plaisir des Maitres et Maitresses...

Je tiens à remarquer que je juge particulièrement judicieux de tatouer le terme "esclave" ou "slave" à proximité du sexe de l'esclave : aucune ambiguité, c'est ainsi qu'il ou elle doit être utilisé sexuellement et ce quelques soient les circonstances...













Et je me souviens...

je me souviens que dans les années 80 rares étaient les pubis intégralement rasés....

Je me souviens dans les années 80, parmi les premiers signes de soumission de celles qui consentaient au Maitre le rasage intégral et permanent faisait partie des premières habitudes....

Je me souviens des premiers tatouages d'esclave apparus au cours des années 90 sur le grand registre des esclaves

Il me plait de constater aujourd'hui que l'épilation intégrale est devenue une évidence....

Dans 20 ans le tatouage - marquage sera peut être devenu une évidence : il me plaira de le constater si c'est le cas (sourires)... Chacun y aura gagné en respect et en liberté de vivre en toute circonstance telle que l'on se sent être, vrais en nous même, vrais les uns vis à vis des autres.... Je rêve... Qui sait ?