dimanche 25 avril 2010

La fessée, l'humiliation... Le fouet



















Alors elizabeth simpson, les choses sont en bordel ici on dirait ? on a bu des coups, laisser tout en désordre comme pas possible ? t'as vu tes bulletins de notes ?
mets tes mains derrière ton dos sur le mur… et je t'ai donné le choix hier soir, tu te souviens ?

elle baisse la tête, tu vas être secouée, la vie n'est pas pour toi orienté uniquement vers le plaisir, tu dois le comprendre c'est pour cela que tu as le choix entre recevoir la canne et être violentée ou être violentée et recevoir la canne après, tu dois choisir… elle se met à pleurer..

J'attends, simpson, je veux etre battue dabord dit elle.. Bien releve ta jupe, tournes toi, attends une minute, je vais chercher ma canne. mets toi en position, enlève ton bracelet, mets toi en position, nerveuse ? oui, c'est bien… elle pleure tandis qu'il lui donne des claques sur les fesses… tu peux remarquer simpson que je frappe sur la pulpe de tes fesses afin de les marquées et que la douleur soit plus vive il lui ouvre les fesses, tu as vu simpson combien ton cul s'ouvre avec les coups ? tu dois tenir ta bouche fermée, elle ne sert qu'a accueillir ce qui doit se deverser dans ta gorge, tu comprends ? oui dit elle en reniflant, il secoue la canne.. puis l'attrape par les cheveux, je vais te canner encore puis t'utiliser… Il reprend les coups, lui donne de belles claques sur les fesses, il l'a fait se tourner vers la caméra… il lui donne la fessée par en dessous… Puis il l'envoie au coin les mains sur la tête.

Il lui demande ce qui va arriver ensuite, elle répond vous allez me tourmenter… Il la fait se courber sur la table, applique du gel entre ses fesses, elle sanglote, il l'ouvre d'un doigts pour bien répandre le gel et permettre une intromisssion confortable, il baisse son pantalon, se met en position et la penettre profond, elle sanglotte, il saisit sa queue de cheval et la sodomise ainsi en lui donnant de profonds coups de reins qui font bouger la table. Il enfile deux doigts dans son anus pour la violenter, elle est au bord de la jouissance, mais elle ne jouit pas ou tout du moins cela ne se voit pas…

Il l'insulte un peu et lui ordonne de se tourner, de se mettre à genoux. Il enfile sa queue dans sa gorge et agite sa tête dessus, puis sans que l'on sache vraiment si il l'a gorgé de son sperme, il la fait se relever, et l'envoie hors de la pièce…


Ca c'est le film 1 que Je commente ici, le film 2 est une suite de petits films de fouet et de canne très bien appliqué sur le corps d'une esclave punie dans un garage...

Deux productions très différentes : la première est issue du travail de Magik le boss de shadowslaves... elizabeth simpson, sans être une esclave à Ma connaissance fait là sous la direction de Magik une très belle scène d'humiliation. Il est dommage que l'on ne suive pas plus à la manière de certaines productions américaines ce qui se joue et se dit après la scène...

Il est toujours bon de rappeler que mener son esclave dans de telles situations et souvent très gratifiant pour le Maitre comme pour l'esclave. Les moments qui suivent sont aussi importants que ce qui nous est montré. Il est d'ailleurs bon de s'interroger sur ce qui entoure la scène, le avant, le après, le hors champ...

En fait il y a plusieurs façons de voir ces films : comme la réalisation d'un fantasme, mais cela laisse un peu sur N/notre faim... Une fois le fantasme envolé il ne reste pas grand chose... Et puis les rêves et les fantasmes sont des directions pas des écrans de fumées... N/nous pouvons les voir sous l'angle éducatif, Mon préféré, comment tenir une esclave lors de son dressage. L'énergie dégagée de la scène est alors un nectar dont plus tard N/nous saurons faire N/notre miel... Ou bien N/nous pouvons voir ces films comme des performances, témoins de l'expression personnelles d'un metteur en scène avec des artistes talentueuses...

En tout état de cause, ces films N/nous aident à mieux ressentir ce qui gît en N/notre coeur de désir, de vie et de partage...

Le discernement est à pratiquer sans relâche, le consentement, même dans des moments poussés au delà, est souverain...

Heureuse l'esclave qui par son abandon permet au Maitre de s'exprimer pleinement, de marquer son corps comme de dresser sa psyché...

Heureux le Maitre qui progresse dans son savoir faire, son écoute sensible et sa responsabilité...

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